Overblog
Suivre ce blog Administration + Créer mon blog

Nous contacter

Section Daniel MAYER Canton de Mundolsheim
Fédération du Bas Rhin du Parti Socialiste
8 rue Saint-Ehrard - 67100 Strasbourg
Courriel : ps.mundolsheim@gmail.com

Recherche

Archives

24 mars 2010 3 24 /03 /mars /2010 08:06
LGV Est européenne phase 2 : RFF attribue le premier marché de génie civil

 

TGV_phase2_V3-carte.jpg


Le "lot 42" de la LGV Est européenne : 16,8 km de LGV situés à l'extrémité Est du secteur mosellan de la ligne, entre les communes de Sarraltroff et Danne-et-Quatre-Vents (57)

 

Le Conseil d'administration de Réseau Ferré de France du 18 mars a décidé d'attribuer le premier marché de génie civil de la 2ème phase de la Ligne à Grande Vitesse Est européenne au groupement d'entreprises françaises Guintoli/ Maia Sonnier/ NGE GC pour un montant de 78,9 M€.


La maîtrise d'oeuvre de ce tronçon est assurée par le groupement Inexia Arcadis. Ce marché porte sur la réalisation des travaux de génie civil (terrassements, hydraulique, ouvrages d'art, rétablissements de chaussée) du lot dit 42, correspondant à 16,8 km de LGV situés à l'extrémité Est du secteur mosellan de la ligne, entre les communes de Sarraltroff et Danne-et-Quatre-Vents (57).
Les travaux à réaliser concernent près de 9 millions de m3 de terrassement et 29 ouvrages d'art. Ils débuteront après les études d'exécution des dernières reconnaissances de sol et la réalisation des installations de chantier.
Hubert du Mesnil, Président de RFF, souligne : « Cette nouvelle étape marque le véritable lancement des opérations. Les grands travaux de génie civil démarreront à l'été 2010 comme RFF s'y était engagé. »
Les appels d'offres des neuf autres lots de génie civil se poursuivront toute l'année 2010, conformément au calendrier initial.
La phase de l'ensemble des travaux de génie civil de la ligne, qui durera trois ans, sera suivie par celle des équipements ferroviaires (pose des rails et des caténaires, installation de la signalisation, etc.).
Les travaux de construction de la 2ème phase généreront une activité importante représentant environ 6 000 emplois par an sur l'ensemble du chantier.
Le début de ces travaux marque le coup d'envoi pour la partie ferroviaire du Grenelle de l'Environnement qui a pour objectif de lancer d'ici 2020, 2 000 km de lignes à grande vitesse.

FOCUS

La LGV Est européenne

La première phase de la LGV Est qui relie Paris à Baudrecourt en Moselle, a été inaugurée en 2007 et a permis de réduire le temps de parcours entre Paris et Strasbourg de 4h à 2h20.
La réalisation actuelle des 106 kilomètres de la 2nde phase de la LGV Est européenne entre Baudrecourt et Vendenheim (Bas-Rhin) permettra de réduire encore de 30 minutes (1h50 au lieu de 2h20) le temps de parcours Paris-Strasbourg ou encore d'assurer la liaison Luxembourg-Strasbourg en 1h25 (contre 2h10 actuellement).
Le projet de réalisation de la 2ème phase de la LGV Est européenne d'un montant de 2010 M€ est financé dans le cadre d'une convention signée le 1er septembre 2009 qui associe l'Etat, seize collectivités territoriales, l'Union Européenne et le Grand Duché du Luxembourg.
La LGV Est européenne est l'un des maillons de la Magistrale pour l'Europe, axe de 1 501 km qui, à terme, reliera à grande vitesse Paris à Bratislava et à Budapest.

 

Sur le Moniteur.fr

Partager cet article
Repost0
24 mars 2010 3 24 /03 /mars /2010 07:59
Strasbourg et Mulhouse veulent imiter la Défense
Strasbourg et Mulhouse veulent imiter la Défense

Les villes de Strasbourg et Mulhouse lanceront en 2011 leur quartier d'affaires de référence en lien avec leur gare TGV, pour des surfaces respectives de 120 000 et plus de 40 000 m².

Installé dans le quartier du Wacken, le nouveau parc tertiaire de Strasbourg sera voisin du Parlement européen et à quelques stations de tramway de la gare, en parallèle de la réorganisation du Palais des congrès et du Parc d'expositions les deux équipements qu'il côtoiera, a présenté Catherine Trautmann, vice-présidente de la Communauté urbaine (CUS) en charge du développement économique. Il doit déployer une surface d'environ 120 000 m² en deux tranches à réaliser sur une dizaine d'années, avec de premiers travaux possibles l'an prochain, selon la CUS.

Ce projet amorce une série de nouveaux programmes d'immobilier d'entreprise que la CUS compte initier dans une « couronne » qui passe par la gare et le port au bord du Rhin, a complété Mme Trautmann. A Mulhouse, le quartier d'affaires dessiné par l'architecte réputé David Mangin (cabinet Seura), dont la conception s'étendra sur plus de dix ans, sera localisé directement à la sortie de la gare qui sera desservie par le TGV Rhin-Rhône fin 2011, ont indiqué Jean Rottner, premier adjoint au maire et Robert Pellissier, directeur général de la SERM (Société d'équipement de la région mulhousienne), aménageur du site.

Sa première tranche amorcée l'an prochain comprend 25 000 m² tertiaires (bureaux, commerces en rez-de-chaussée et un hôtel 3 étoiles) complétés par 100 logements, tandis que la seconde programmée ultérieurement prévoit 20 000 m² de bureaux et logements a complété M. Pellissier. Les deux principales villes alsaciennes ont présenté leurs projets cette semaine au Mipim, le salon international de l'immobilier à Cannes, sur son stand propre pour Strasbourg, sur celui partagé de la « métropole Rhin-Rhône » pour Mulhouse.

B.P source AFP

Partager cet article
Repost0
23 mars 2010 2 23 /03 /mars /2010 16:10


 
TAXE CARBONE

 
laurence-rossignol-photo-3.jpgVoilà donc et sans plus d’explications la taxe carbone enterrée par le Premier Ministre. Cette annonce prolonge tout naturellement les propos du Président de la République qui, au salon de l’Agriculture, avait lâché que « toutes ces histoires d’environnement, ça commençait à bien faire », dévoilant ainsi l’insincérité de sa « conversion » à l’écologie.

 
Si l’abandon de la taxe carbone, qui était injuste et inefficace, est une bonne nouvelle pour les ménages, en revanche le gouvernement vient aussi de renoncer à toute réorientation de la fiscalité en faveur de l’environnement.
 
Progressivement ce sont les engagements du Grenelle, qui, un à un, se dissolvent. Après la défaite de la droite aux élections régionales il s’agit donc pour le gouvernement de revenir sur quelques mesures particulièrement impopulaires, pour pouvoir encore mieux protéger le bouclier fiscal et les nombreuses exonérations accordées aux catégories les plus favorisées.
 
Cette déclaration du Premier Ministre n’est assortie d’aucune proposition, aucune alternative, aucune perspective, si ce n’est de s’en remettre à une hypothétique décision européenne.
Le Parti socialiste sera extrêmement vigilant: le gouvernement ne doit pas saborder le Grenelle de l’environnement pour garder le cap d’une politique rejetée dimanche par les Français.
 

 

 

Partager cet article
Repost0
22 mars 2010 1 22 /03 /mars /2010 09:44
800px-Region Alsace 1

Sous un ciel bas et des pluies intermitentes, les électeurs Alsaciens se sont déplacés dimanche dernier, plus nombreux qu'au soir du  14 mars. Il faut dire  également que ce 2ème tour avait valeur de test bien au delà des strictes enjeux des régionales : Test national pour la solidité du gouvernement en charge des affaires, test aussi pour Nicolas Sarkozy et sa politique présidentielle  de moins en moins comprise et partagée, test enfin pour les élections à venir : les cantonales de 2011 bien sûr mais aussi et  surtout les présidentielles qui suivront dans la foulée.

 L'examen de passage est donc réussi pour les PS et ses alliés d'Europe Ecologie et du Front de gauche, il ne l'est pas en revanche pour le Modem et la droite présidentielle, qui a des titres divers payent aujourd'hui le manque de visibilité de leurs leaders, François Bayrou pour le premier  et Nicolas Sarkozy avec sa majorité présidentielle.

Pour François Bayrou, la cause semble entendue. Son insistance du « ni droite ni gauche » a sérieusement entamé ses chances pour 2012 dans la mesure où ses espoirs reposaient sur  l'émergeance d'un grand parti du centre dont on connait désormais les résutats.

Pour le parti présidentiel ,décliné à l'aune de ses 22 ministres en campagne, le score est cruel et reflète bien les votes de défiance qui se sont exprimés, tant pour les errements en politique que pour la manière ostentatoire dont  le président Sakozy assume sa charge.
Et pour ne rien arranger, le déni de défaite de l'après 1er tour  tout comme l'intangibilité d'un cap réaffirmé avec force au soir du 2ème tour, font craindre des jours difficiles pour le parti au pouvoir, surtout si comme aujourd'hui,  pays réel et majorité politique ne semblent plus aller de pair.

A contrario, ces élections auront été pour le Parti socialiste la confirmation de sa capacité à mener les Régions au delà de leurs compétences reconnues. En faisant des ces territoires un outil de cohésion sociale et d'amortisseur de la crise, le socialisme au service des collectivités locales s'est imposé comme un formidable laboratoire d'idées qu'il s'agira de faire valoir lors des prochaines élections cantonales et présidentielles.

Au final, nonobstant les résultats en Guyane et à l'île de La Réunion, l'Alsace demeure pour la droite, l'unique région métropolitaine à pouvoir se parer des  oripeaux de la victoire.
Philippe Richert au nom de la Majorité Alsacienne a privé le Parti socialiste d'un grand chelem. Mais cette victoire, obtenue grâce à une mobilisation sans précédent de ses cadres, est aussi une victoire à la Pyrrhus dans la mesure où cette élection n'a fait qu'élargir un peu plus le fossé qui existait en le monde urbain et celui de la ruralité.
Philippe Richert l'emporte partout dans les campagnes, à commencer par l'Alsace du Nord, l'Alsace Bossue et certaines villes moyennes du Bas Rhin comme Saverne, Obernai, Molsheim ou Haguenau.
Ici plus qu'ailleurs, la solide implantation de la droite dans les conseils municipaux et les  diverses instances locales aura servi de points fixes autour desquels se sont organisées les campagnes de remobilisations. Rares sont en effet les maires qui ont été désavoués par leurs électeurs dans ce scrutin. C'est pourquoi les défaites de Gilbert Meyer à Colmar, Marcel Bauer à Sélestat, tout comme celle de André Klein Mosser à Bischheim seront à examiner à la loupe, tant il est vrai que le glissement à gauche de ces électorats a aussi à voir avec la gestion municipale de ce 3 cadors de l'UMP.
Pourtant il ne faudrait pas chercher dans le désaveu de certains maires conservateurs (perceptible aussi dans le Haut Rhin), les coûts  collatéraux de la victoire de la droite Alsacienne.
Certaines informations issues des sondages sont en ce sens bien plus significatives, notamment lorsqu'elles révèlent à distance des urnes un contour de l'électorat qui cadre mal avec ce mouvement vers la droite qui a prévalu dans le temps du vote.
La droite n'a pas la main chez les 30 - 49 ans et chez les moins de 30 ans, mais elle l'a pas non plus chez les ouvriers et les cadres. Saura-t-elle pour autant réviser son logiciel  électoral qui aujourd'hui tient plus de la méthode Coué que d'une véritable exégèse des territoires dont elle a la charge ?

Le monde du travail, le monde la jeunesse n'est pas à droite. Vouloir garder le cap comme l'a réaffirmé Philippe Richert devrait donc se révéler très vite comme une impasse.

 
Les urnes l'on confirmé, les médias l'ont souligné, et même si le fait de le  rappeler  n'est pas une manière de les opposer, il faut bien reconnaître qu'il y a aujourd'hui plus jamais, un électorat des villes qui ne vote pas à l'unisson de celui du monde rural. Le monde citadin de gauche, celui d'une Alsace plurielle, en prise directe avec l'économie de la concurrence, celui d'une socialité en recherche d'inventivités et de nouveaux repères, a pourtant beaucoup à voir avec les problématiques du monde plus inertiel des campagnes, un monde que tout oppose désormais à son passé  tout en l'apposant :  Les pratiques de l'agriculture extensive, les paysans transformés en chef d'entreprise, la transhumance au quotidien de ceux qui vivent à la campagne et travaillent à la ville, les emplois qui se délocalisent, les classes moyennes qui peinent à dissiper à l'ombre des clochers les sentiment diffus d'une double voir d'une triple peine, où se mêlent descension sociale et augmentation en continue des charges et contraintes,  modes de vie dispendieux et écologie responsable, trajets pendulaires et  aléas familiaux, services de la ville lointains et isolement des personnes agées, carrières professionnelles hasardeuses des adultes et accès  hypothétiques à l'emploi pour les jeunes générations, etc.

C'est pourquoi, à bien des égards, certains n'hésiteront pas à parier sur le temps pour considérer ces élections régionales comme un marché de dupes :
  • celui où une  majorité sortante qui a failli dans sa gestion et dans ses appréhensions du futur et qui pourtant est reconduite dans sa légitimité par les urnes.
  •  celui d'un campagne électorale illustrant les arcanes de la crise sur des modes où les symtomes se sont parfois confondus avec les causes !


Enfin, si on avait pu croire les résultats des élections régionales de 1998 comme de la résurrection d'un centrisme nouveau, incarné dans la personnalité d'Adrien Zeller, son président élu, l'exploitation éhontée de sa mémoire durant ces derniers mois, aura prouvé qu'il n'en était rien. Que la victoire de Philippe Richert n'a que peu à voir avec la volonté d'un homme  que la postérité désignera comme la dernière figure agissante d'un centrisme Alsacien à la ramasse, qu'elle n'a  également que peu à voir avec ces recompositions sociologiques s'opérant sous nos yeux dans les territoires, et pour terminer pas grand chose non plus de commun, lorsqu'elle se mêle de relire la crise économique qui touche l'Alsace au coeur de son tissu industriel et au delà,  dans sa mémoire collective.

Dans l'impensé qui caractérise sa domination sur les institutions régionales, la droite a soigné tant bien que mal ses blessures du premier tour par un sursaut sans précédent de son électorat. Dans cette aventure, elle y a laissé beaucoup de forces, trop sans doute, pour pouvoir se consacrer utilement au relèvement des  défis dont elle n'a cessé de minorer les contours à défaut de bien les saisir...

Post scriptum
Pour ne pas subir les foudres des inconditionnels de l'information objective. Quelques mots pour finir sur les résultats du Front national.
17,44% dans le Haut Rhin, 12,64%, un differentiel de près de 5 points entre les deux départements. Les courbes du Front national ont donc bien à voir avec la crise et les duretés de l'existence, dont chacun sait qu'elles ont touché le sud de l'Alsace plus que partout ailleurs dans les deux départements.
En mordant dans le Haut Rhin bien plus sur l'électorat de droite plus que  celui de gauche, le FN démontre une fois de plus qu'il est et demeure un parti ultra conservateur, un réservoir de voix utile pour la droite lorsqu'il est absent des débats et un partenaire sans convictions  avérées dès lors que son discours pour subsister, se doit de de surfer en permanence sur  les infinies  nuances de la logomachie du bouc émisssaire, comme ce couple père et fille Le Pen ont su si bien le faire dans le Nord Pas de Calais et en région PACA.
En Alsace, le couple mari et femme, Patrick et Martine Binder nous l'ont joué  pour cette fois sur le mode social avec parfois quelques échappés sans grandes convictions vers les minarets mangeurs de subventions, échappées vite remisées tant la ficelle était grosse et dure à avaler au regard de la réalité des chiffres.
Par son résultat du 2ème tour, le Front national est en retrait par rapport à ses scores de  2002 et 2004, mais il reste supérieur à ceux des élections de  2007-2009. Sa capacité de nuisance demeure donc intacte, surtout si à l'avenir la droite parlementaire Alsacienne devait souffrir de résultats moroses dans les élections qui se profilent à l'horizon.


Les 47 élus du Conseil régional d'Alsace

 Bas-Rhin -29 sièges  
    
Liste  Philippe Richert (UMP-NC) 18 sièges
Philippe Richert (UMP), Sophie Rohfritsch (UMP), André Reichardt (UMP), Nathalie Roos (DVD), François Loos (UMP-DVD), Huguette Zeller (DVD), Justin Vogel (UMP), Marie-Reine Fischer (UMP), Antoine Herth (UMP), Monique Jung (NC), Claude Sturni (DVD), Martine Calderoli-Lotz (UMP), Gilbert Scholly (UMP), Leila Merabet (DVD), Pascal Mangin (UMP), Catherine Zuber (DVD), Jean-Jacques Fritz (DVD), Nicole Thomas (DVD).

Liste Jacques Bigot (PS-EE) 8 sièges
Jacques Bigot (PS), Andrée Buchmann (Europe Ecologie), Jacques Fernique (Europe Ecologie), Dominique Hoeffel (DVG), Alain Fontanel (PS), Anne-Pernelle Richardot (PS), Jean-Marc Riebel (Europe Ecologie), Sylvie Grucker (Europe Ecologie).


Liste Patrick Binder (FN  3 sièges

Christian Cotelle (FN), Huguette Fatna (FN), Jean-Claude Altherr (FN).

Haut-Rhin - 18 sièges      

Liste Philippe Richert (UMP-NC)10 sièges
Arlette Grosskost (UMP), Jean-Paul Omeyer (UMP), Chantal Risser (DVD), Jacques Cattin (UMP), Chrysanthe Camilo (UMP), Yves Hemedinger (UMP), Pascale Schmidiger (UMP), René Danesi (DVD), Nejla Yazmis-Brandalise (UMP), Jean Marie Belliard (UMP).

Liste Jacques Bigot (PS-EE) 6 sièges
Antoine Homé (PS), Djamila Sonzogni (Europe Ecologie), Antoine Waechter (Europe Ecologie), Pascale Cléo Schweitzer (PS), Michel Chéray (PS), Victoriana Valentin (PS).


Liste Patrick Binder (FN) 2 sièges
Patrick Binder (FN), Martine Me
tzger-Binder (FN).

 

 



Partager cet article
Repost0
19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 18:27

 

 

urne.jpgListe Lutte ouvrière conduite par Julien Wostyn 0,49% (0,86%*)

Liste Nouveau Parti anticapitaliste conduite par Yves Zimmermann 1,12% (1,64%*)

Liste Front de gauche soutenue par le Parti communiste et le Parti de gauche

conduite par Jean Yves Causer 1,33% (1,87%*)

Liste Ecologie sociale, solidaire et décroissante conduite par Manuel Santiago

1,19% (1,61%*)

Liste soutenue par le Parti socialiste conduite par Jacques Bigot 19,94% (18,97%*)

Liste Europe Ecologie Alsace soutenue par les Verts,le MEI et Régions et Peuples

solidaires conduite par Jacques Fernique 14,70% (15,60%*)

Liste MoDem conduite par Yann Werhling 3,57% (4,44%*)

Liste UMP et Nouveau Centre conduite par Philippe Richert 40,67% (34,94%*)

Liste Alsace Notre Terre conduite par Patrick Striby 0,91% (1,6%*)

Liste régionaliste « Alsace d’abord» conduite par Jacques Cordonnier 4,47%

(4,98%*)

Liste Front national conduite par Patrick Binder 8,15% (13,49%*)


Inscrits 34771

Abstentions 18345 soit 52,76% (56,54%*)

Votants 16426urne.jpg


La liste Majorité Alsacienne de Philippe Richert dépasse les 40% dans 7 communes sur 14 et fait son meilleur score à Lampertheim (54,87%), une commune traditionellement ancrée à droite.

La liste conduite par Jacques Bigot obtient ses meilleurs résultats à Mundolsheim (24,77%), Ittenheim (23,01%), Breuschwickersheim (21,92%), Eckbolsheim (21,70%).

La liste Europe Ecologie menée par Jacques Fernique atteint 17,83% à Oberhausbergen, 17,47% à Mittelhausbergen et 17,24% à Wolfisheim.

Le Front national de Patrick Binder dépasse les 10% dans 6 communes et atteint 13,33% à Oberschaeffolsheim

* Résultats pour l'ensemble de l'Alsace

Partager cet article
Repost0
19 mars 2010 5 19 /03 /mars /2010 08:25

Habiter le ciel, la tour d'habitation avec jardins, nouveau concept de Roland Castro pour le grand Paris



IMAGE_2010_03_18_2478220.jpg

C'est un "village vertical" selon les termes de Jean-Luc Poidevin, directeur général délégué de Nexity, un projet qui doit "réconcilier la nature et la ville", selon Roland Castro son concepteur. "Habiter le ciel", fruit de travaux réalisés lors du concours d'architectes pour le Grand Paris, destiné à trouver des solutions pour densifier le tissu urbain sans le défigurer est un immeuble de 17 étages dont le noyau central de ces immeubles de 17 étages est constitué de cinq cours-jardins superposés, vitrées, ouvrant chacune sur 4 étages de logements constituées de deux duplex posés l'un sur l'autre. Deux ascenseurs vitrés prennent place au fond de la cour et doivent donner la sensation de traverser des serres.
Le socle du bâtiment, qui peut accueillir des commerces et des bureaux, abrite un hall occupant les deux premiers niveaux.
Le plancher du dernier étage se trouve à moins de 50 mètres de hauteur, pour échapper aux fortes contraintes sécuritaires des immeubles de grande hauteur (IGH) même si la hauteur totale atteint 57 mètres.
Le premier immeuble "Habiter le ciel", dont les prix de vente au m2 devraient s'échelonner de 3.500 à plus de 5.000 euros, doit voir le jour à Gennevilliers (Hauts-de-Seine), selon Nexity.
"De nombreuses municipalités devraient être intéressées par installer de tels immeubles au coeur des grandes métropoles, proches des transports en commun car il y aura seulement une place de parking pour deux logements", espère M. Poidevin.

 

Adrien Pouthier sur le Moniteur.fr

photo Atelier Catro Denisoff Casi/Nexity

 

Partager cet article
Repost0
18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 10:09
maison-ossature-bois-trouvez-un-constructeur-sur-la-toile-i.jpg

Un décret multiplie par 10 la quantité de bois imposée dans un logement


Un décret visant à favoriser l'utilisation du bois dans la construction vient d'être publié au journal officiel. Pour les logements, le volume minimal de bois à incorporer dans une construction pourra être, en 2012, jusqu'à dix fois supérieur à celui en vigueur actuellement.

Le nouveau décret relatif à l'utilisation du bois, publié au JO du 17 mars, fixe les volumes minimaux de bois à incorporer dans les bâtiments dont la demande d'autorisation de construire ou la déclaration préalable sera déposée après le 1er décembre 2011 et durant une période transitoire, allant du 1er décembre 2010 au 30 novembre 2011.

Un immeuble à usage d'habitation dont la charpente de toiture est en bois, devra, à partir du 1er décembre 2011, incorporer un volume de 35 décimètres³ de bois par m² de shon, contre 2 décimètres actuellement. Autrement dit la construction d'une maison avec charpente de toiture en bois, de 100m² shon, nécessitera au minimum l'utilisation de 3,5m³ de bois, soit plus de 10 fois le volume aujourd'hui imposé par le décret n°2005-1647 datant de 2005.
Pour Hubert Fevre, Cogérant de Gaujard technologie, bureau d'études spécialisé dans l'enveloppe et la structure des bâtiments en bois, l'exigence est,aujourd'hui, tellement basse, "qu' il suffit d'avoir des fenêtres en bois pour la respecter". Avec cette nouvelle exigence qui s'appliquera à partir de 2010, "cela commence à être significatif, le bois devra représenter une part non négligeable de la structure."

 

Exigence moins grande pour les habitations dont la charpente est en bois

 

Le décret distingue les bâtiments à usage d'habitation ayant une charpente en bois, pour lesquels le volume minimal de bois à incorporer est plus élevé, la charpente étant comptabilisée, et ceux dont la charpente est majoritairement réalisée en matériau autre que le bois ou n'en ayant pas. Ainsi, une maison, de 100m² Shon, dont la charpente est métallique, devra, à partir du 1er décembre 2011, incorporer non pas 3,5m³ de bois, comme dans le cas d'une charpente en bois, mais seulement 1m³, soit tout de même 5 fois plus de bois que l'obligation actuelle. Ce qui fait dire à Hubert Fevre que même si le décret est "loin d'obliger à tout construire en bois", il est "symboliquement intéressant".

Selon les bâtiments, le décret impose les exigences suivantes:


  Demande d'autorisation de construire ou déclaration préalable déposée entre le 1er décembre 2010 et le 30 novembre 2011 Demande d'autorisation de construire ou déclaration préalable déposée après le 1er décembre 2011 
Habitation dont la charpente est majoritairement réalisée en bois
 20 dm³ de bois par m² de surface hors oeuvre
35 dm³ de bois par m² de surface hors oeuvre
Habitation dont charpente est majoritairement réalisée en matériaux autres que le bois ou habitation sans charpente  7 dm³ de bois par m² de surface hors oeuvre  10 dm³ de bois par m² de surface hors oeuvre
Bâtiment à usage industriel, de stockage ou de service de transport  3 dm³ de bois par m² de surface hors oeuvre  5 dm³ de bois par m² de surface hors oeuvre
Tout autre bâtiment  7 dm³ de bois par m² de surface hors oeuvre  10 dm³ de bois par m² de surface hors oeuvre


La quantité de bois est mesurée par le volume du bois mis en oeuvre rapporté à la surface hors oeuvre nette, sauf dans le cas d'un bâtiment à usage dominant de garage ou de parking ou d'un bâtiment agricole, la shon est alors remplacée par la shob. "Le calcul du volume de bois incorporé dans une construction est effectué, dans des conditions fixées par arrêté du ministre chargé de la construction, soit au moyen d'une méthode forfaitaire utilisant des ratios par type d'ouvrage ou de produit incorporé dans un bâtiment, soit à partir des caractéristiques volumétriques réelles" précise le texte.

 

 

Pour voir le décret, cliquez ci-dessous

 

Partager cet article
Repost0
18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 07:49

CONSEIL-GENERAL-DU-BAS-RHIN.IMAGE.jpgCONSEIL-GENERAL-DU-BAS-RHIN.jpg

CONSEIL GENERAL DU BAS RHIN.IMAGE

Le conseil général du Bas-Rhin supprime sa subvention au GHIP


Depuis le 15 mars, le Groupement pour l'insertion des personnes handicapées physiques (GIHP) de Strasbourg réduit ses services de transport dans l'agglomération strasbourgeoise.

En cause, le retrait, en février, d’une subvention du conseil général qui couvrait 50% du budget de fonctionnement de la structure. La CUS, qui finance l’autre moitié, a augmenté son enveloppe d’un quart ; mais 25 % reste non financés.

Depuis 1984, une convention liait le conseil général du Bas- Rhin et le GIHP, qui compte 2 500 adhérents sur Strasbourg et ses environs. Le GIHP emploie 39 salariés pour une flotte de 26 véhicules. Sur un budget global d’environ 1,7 million d’euros en 2009 uniquement pour les transports dans la communauté urbaine, – plus de 2 millions au total pour l’ensemble du Bas-Rhin -, les collectivités ont versé 624 000 euros chacune pour aider au transport d’environ 2500 personnes handicapées.
En mars 2009, le conseil général avait informé de sa décision de dénoncer la convention à sa date anniversaire, le 3 février 2010.
Par conséquent, le GIHP diminue ses prestations, en n’assurant plus le transport les lundis et vendredis soir après 19 h, ni la continuité de service en soirée et le week-end. Le recours aux taxis pour certains déplacements sera probablement limité. Le délai de réservation sera également réduit, explique Bernard Pfister, trésorier du GIHP.

Les collectivités se renvoient la balle
La compétence du transport des personnes à mobilité réduite sur la CUS relève de cette CONSEIL GENERAL DU BAS RHINcollectivité et non du département, confirme par courrier le président (UMP) du conseil général, Guy-Dominique Kennel. Cette décision étant motivée par un souci de clarification des compétences (…), mais aussi par le fait que le conseil général assure déjà, via la MDPH – maison départementale du handicap – un tel service au travers de l’attribution d’aides financières de compensation aux personnes handicapées, destinées à financer notamment leur transport.

La CUS, qui est liée par une convention avec le conseil général renvoie la balle en argumentant : Nous remplissons notre obligation de transporter les gens d’arrêt à arrêt. L’accompagnement de porte à porte relève du service à la personne, une compétence du conseil général, explique Doris Hahn, vice-présidente de la collectivité chargée du handicap.
Une nouvelle convention a été signée pour 2009 avec la CUS, qui a augmenté de 25 % sa subvention. Dès 2010, un appel d’offre pour une nouvelle délégation de service public sera lancé.

 

V.Vandamme sur la Gazette.fr

Partager cet article
Repost0
18 mars 2010 4 18 /03 /mars /2010 07:44

Hotel_du_Departement_Bas-Rhin_1.JPG
Le conseil général du Bas-Rhin supprime sa subvention au GIHP

Depuis le 15 mars, le Groupement pour l'insertion des personnes handicapées physiques (GIHP) de Strasbourg réduit ses services de transport dans l'agglomération strasbourgeoise.

En cause, le retrait, en février, d’une subvention du conseil général qui couvrait 50% du budget de fonctionnement de la structure. La CUS, qui finance l’autre moitié, a augmenté son enveloppe d’un quart ; mais 25 % reste non financés.

Depuis 1984, une convention liait le conseil général du Bas- Rhin et le GIHP, qui compte 2 500 adhérents sur Strasbourg et ses environs. Le GIHP emploie 39 salariés pour une flotte de 26 véhicules. Sur un budget global d’environ 1,7 million d’euros en 2009 uniquement pour les transports dans la communauté urbaine, – plus de 2 millions au total pour l’ensemble du Bas-Rhin -, les collectivités ont versé 624 000 euros chacune pour aider au transport d’environ 2500 personnes handicapées.
En mars 2009, le conseil général avait informé de sa décision de dénoncer la convention à sa date anniversaire, le 3 février 2010.
Par conséquent, le GIHP diminue ses prestations, en n’assurant plus le transport les lundis et vendredis soir après 19 h, ni la continuité de service en soirée et le week-end. Le recours aux taxis pour certains déplacements sera probablement limité. Le délai de réservation sera également réduit, explique Bernard Pfister, trésorier du GIHP.


Les collectivités se renvoient la balle

La compétence du transport des personnes à mobilité réduite sur la CUS relève de cette collectivité et non du département, confirme par courrier le président (UMP) du conseil général, Guy-Dominique Kennel. Cette décision étant motivée par un souci de clarification des compétences (…), mais aussi par le fait que le conseil général assure déjà, via la MDPH – maison départementale du handicap – un tel service au travers de l’attribution d’aides financières de compensation aux personnes handicapées, destinées à financer notamment leur transport.

La CUS, qui est liée par une convention avec le conseil général renvoie la balle en argumentant : Nous remplissons notre obligation de transporter les gens d’arrêt à arrêt. L’accompagnement de porte à porte relève du service à la personne, une compétence du conseil général, explique Doris Hahn, vice-présidente de la collectivité chargée du handicap.
Une nouvelle convention a été signée pour 2009 avec la CUS, qui a augmenté de 25 % sa subvention. Dès 2010, un appel d’offre pour une nouvelle délégation de service public sera lancé.


V.Vandamme sur la Gazette.fr
Partager cet article
Repost0
17 mars 2010 3 17 /03 /mars /2010 23:50


urne-photo-17-mars-2010.jpgSelon un sondage CSA-Le Parisien-Aujourd'hui en France publié le mercredi 16 mars, la liste de l'Union de la Gauche et d'Europe Ecologie conduite par Jacques Bigot l'emporterait d'un souffle face à la liste d'Union de la droite menée par Philippe Richert avec 44% des intentions de vote contre 43%. La liste du Front national de Patrick Binder arriverait en troisième position avec 13% des intentions de vote.
Le chiffre des abstentions, blancs ou nuls baisserait de 56,4% (résultat du 1er tour) à 51%, ce qui serait remarquable, compte tenu des écarts habituels que l'on peut noter dans des élections à deux tours. Il confirmerait par la même occasion cette abstention soutenue des électeurs de droite que l'on a pu pointer au premier tour.

De façon plus détaillé, ce sondage indique que les électeurs de la liste de Jacques Bigot se retrouveraient plus nombreux dans la tranche des moins de 30 ans (58%) ainsi que chez les cadres (55%), les professions intermédiaires (48%), les employés (47%), et ce qui est nouveau, chez les ouvriers (44%)


Sondage CSA/Le Parisien/Aujourdh'ui en France, réalisé par téléphone les 15 et 16 mars 2010 sur un échantillon de 793 personnes âgées de 18 ans et plus, inscrites sur les listes électorales en Alsace.
Ce sondage a été effectué d'après la méthode des quotas (sexe, âge, profession du chef de ménage), après stratification par département.
Partager cet article
Repost0